Poèmes de Ereleï Cinlü
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Poèmes de Ereleï Cinlü
Quelques alexandrins pour un joyau divin
Desert, desolation sont des mots adequats
Pour decrire mon cœur froid et prive de tout astre
A l’annonce de sa mort mon ame se retira
Evainia ma sœur representait tout pour moi
Ne pres des ruines de flammes, j’y ai joue et grandit
Ma sœur veillait sur moi, j’etais libre, sans soucis
Au long de ces doux cycles, ma vie n’etait que joie
L’impossible arriva, pres de l’eau elle sombra
Et mon cœur l’a suivie dans le vil tourbillon
Le souvenir en moi pour unique compagnon
Avec le temps passant, j’ai cru revoir le jour
J’ai cru aimer une nis, mais d’un sterile amour
L’astre d’amour salvateur enfin se devoila
Et tel un svelte zephyr, par Camthalion passa
Kidnappe fut mon cœur, a son rapide passage
Sans pouvoir resister, j’ai suivi son sillage
Elduniel la guidait vers le joyau divin
Mon cœur vierge me guidait vers un doigt de la main
Marchant, courant, volant je l’ai enfin rattrapee
Et de tout mon amour, ses blessures ai panse
O dieux de notre peuple, grace a vous mon cœur bat
De ma longue solitude, vous avez sonne le glas
Elle est belle et sauvage, ses yeux verts sont si doux
Que je m’y abandonne et peu a peu y prend goût
L’aimer et etre aime est devenu ma joie
Un seul desir m’habite, me blottir dans ses bras
Desert, desolation sont des mots adequats
Pour decrire mon cœur froid et prive de tout astre
A l’annonce de sa mort mon ame se retira
Evainia ma sœur representait tout pour moi
Ne pres des ruines de flammes, j’y ai joue et grandit
Ma sœur veillait sur moi, j’etais libre, sans soucis
Au long de ces doux cycles, ma vie n’etait que joie
L’impossible arriva, pres de l’eau elle sombra
Et mon cœur l’a suivie dans le vil tourbillon
Le souvenir en moi pour unique compagnon
Avec le temps passant, j’ai cru revoir le jour
J’ai cru aimer une nis, mais d’un sterile amour
L’astre d’amour salvateur enfin se devoila
Et tel un svelte zephyr, par Camthalion passa
Kidnappe fut mon cœur, a son rapide passage
Sans pouvoir resister, j’ai suivi son sillage
Elduniel la guidait vers le joyau divin
Mon cœur vierge me guidait vers un doigt de la main
Marchant, courant, volant je l’ai enfin rattrapee
Et de tout mon amour, ses blessures ai panse
O dieux de notre peuple, grace a vous mon cœur bat
De ma longue solitude, vous avez sonne le glas
Elle est belle et sauvage, ses yeux verts sont si doux
Que je m’y abandonne et peu a peu y prend goût
L’aimer et etre aime est devenu ma joie
Un seul desir m’habite, me blottir dans ses bras
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