Poèmes d'Anarion
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Poèmes d'Anarion
Poème dédié à Galmaliel
Par Anarion, quendë
Le soleil aujourd'hui se leve
Pour une matinee de reves
La rosee couvre l'herbe verte
Ce jour ne sera pas ma perte.
La Nature est un temple ou de vivants piliers
Laissent parfois sortir de confuses paroles ;
L'elfe y passe a travers des forets de symboles
Qui l'observent avec des regards familiers
Si belle est la melancolie
Envoûtant ces vastes prairies,
Decorant ces belles clairieres
Qu'illumine une douce lumiere.
O toi qui as donne vie
A toute choses d'Ideo
Eau, air et terre tu maries
Par ta presence Galmaniel.
Par Anarion, quendë
Le soleil aujourd'hui se leve
Pour une matinee de reves
La rosee couvre l'herbe verte
Ce jour ne sera pas ma perte.
La Nature est un temple ou de vivants piliers
Laissent parfois sortir de confuses paroles ;
L'elfe y passe a travers des forets de symboles
Qui l'observent avec des regards familiers
Si belle est la melancolie
Envoûtant ces vastes prairies,
Decorant ces belles clairieres
Qu'illumine une douce lumiere.
O toi qui as donne vie
A toute choses d'Ideo
Eau, air et terre tu maries
Par ta presence Galmaniel.
Re: Poèmes d'Anarion
Poème dédié à Galmaliel
par Anarion
Sur les eaux orangees, je m'avance avise,
Caresse de silence et de doux alizes.
Effleurant la nature, je contemple amuse,
Tes yeux gris camoufles dans les hauts herbaces.
Pour pouvoir m'approcher, te dirent encore les fees,
Porte lui un sourire et une simbelmyne,
En l'ayant par avance parfume d'un baiser.
De ce tendre bouquet, tu pourras le toucher
par Anarion
Sur les eaux orangees, je m'avance avise,
Caresse de silence et de doux alizes.
Effleurant la nature, je contemple amuse,
Tes yeux gris camoufles dans les hauts herbaces.
Pour pouvoir m'approcher, te dirent encore les fees,
Porte lui un sourire et une simbelmyne,
En l'ayant par avance parfume d'un baiser.
De ce tendre bouquet, tu pourras le toucher
Re: Poèmes d'Anarion
La foret m’accueille de sa beaute
Je rentre pour comprendre sa legerete
Chemins me guidant, je trebuchais d’envies
Enfin arrive a la fin d’un parcours infini
Je pris le chemin sans chemin
Ou tout n’est que aleatoire, comptant sur mon destin
Ce que je vit etait merveilleux
Tant de nature, tant de grace a mes yeux
Rien n’etait touche, avait une place ephemere
Ephemere pas par l’homme, mais par la terre
Tant de vie s’y degageait
Aucune formule chimique n’y apparaissait
Aucun animaux ne me craignait
Decouvrant tout ainsi avec moi, son oppose
Me creant une complicite avec la nature
Pour qu’elle me protege a ma mesure....
Je rentre pour comprendre sa legerete
Chemins me guidant, je trebuchais d’envies
Enfin arrive a la fin d’un parcours infini
Je pris le chemin sans chemin
Ou tout n’est que aleatoire, comptant sur mon destin
Ce que je vit etait merveilleux
Tant de nature, tant de grace a mes yeux
Rien n’etait touche, avait une place ephemere
Ephemere pas par l’homme, mais par la terre
Tant de vie s’y degageait
Aucune formule chimique n’y apparaissait
Aucun animaux ne me craignait
Decouvrant tout ainsi avec moi, son oppose
Me creant une complicite avec la nature
Pour qu’elle me protege a ma mesure....
Re: Poèmes d'Anarion
Foret, pure merveille ! À toute les saisons,
Tu enchantes les vastes et lointains horizons,
Et le calme reveur chaque fois vient chercher
Un secret reconfort pour l'ame effarouchee.
L'hiver glace et gris fait grelotter la ville,
Et la rend terne et morne comme une bete vile,
Et souvent, c'est le cur qui se trouve engourdi,
Obscurci de soucis toujours plus alourdis ;
Je ne pourrais decrire la verte explosion
Qui fait pousser les feuilles ainsi qu'une toison
Et fait s'illuminer les fleurs dans la clairiere,
Et s'eveiller un flot d'une jeune lumiere ;
Helas ! Le monde est gris, les montagnes sont vieilles,
Une obscure fumee obscurcit le Soleil,
Car l'Homme en grandissant oublie cette beaute,
S'enfermant dans la Pierre et les ternes cites.
Tu enchantes les vastes et lointains horizons,
Et le calme reveur chaque fois vient chercher
Un secret reconfort pour l'ame effarouchee.
L'hiver glace et gris fait grelotter la ville,
Et la rend terne et morne comme une bete vile,
Et souvent, c'est le cur qui se trouve engourdi,
Obscurci de soucis toujours plus alourdis ;
Je ne pourrais decrire la verte explosion
Qui fait pousser les feuilles ainsi qu'une toison
Et fait s'illuminer les fleurs dans la clairiere,
Et s'eveiller un flot d'une jeune lumiere ;
Helas ! Le monde est gris, les montagnes sont vieilles,
Une obscure fumee obscurcit le Soleil,
Car l'Homme en grandissant oublie cette beaute,
S'enfermant dans la Pierre et les ternes cites.
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