Poèmes de Laëllil
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Poèmes de Laëllil
Je me souviens d'une comptine qu'avait l'habitude de me chanter mon pere quand j'etais enfant.
O Emeraude Eternelle !
Si l'Eau etendue immuable a ses pieds,
La Roche et la Terre, son Eternite,
Jamais au dela vous ne devrez aller.
A sa cime fleurie - la plus haute vous savez !
Ondoyante, Vivante, alentour la maree,
Profonde vision en si rude Contree,
Ici nulle paix pour aucun etranger
Sinon verte merveille au pouvoir debride
Tresor meconnu cependant convoite,
Galmaniel le gardien pour nous la preserver.
O Emeraude Eternelle !
Si l'Eau etendue immuable a ses pieds,
La Roche et la Terre, son Eternite,
Jamais au dela vous ne devrez aller.
A sa cime fleurie - la plus haute vous savez !
Ondoyante, Vivante, alentour la maree,
Profonde vision en si rude Contree,
Ici nulle paix pour aucun etranger
Sinon verte merveille au pouvoir debride
Tresor meconnu cependant convoite,
Galmaniel le gardien pour nous la preserver.
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